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Une
façon de MARCHER
Imaginez que vous passez une entrevue pour un emploi. La personne qui vous
évalue vous insécurise. Vous a-t-on appris, dans ce genre de situation, a
imaginer que vous aviez des racines sous vos deux pieds bien posés par terre ?
L'idée est que si vous vous imaginez agrippé au sol, vous risquez moins dans
les faits d'etre déstabilisé par les réactions de l'autre.
L'inverse est aussi vrai : si vous vous "groundez"
physiquement, par exemple dans votre façon de marcher, vous arriverez avec de
la pratique a vous sentir plus solide de l'intérieur. Faites déja le test de
marcher dans une piece a la noirceur : vous aurez du mal a garder votre
équilibre, car vous n'avez plus de reperes visuels - a moins que
vous vous mettiez a enfoncer vos pas dans le sol : alors, je parie que vous
allez retrouvez votre équilibre.
Allez plus loin, essayez ceci, inspiré du tai chi : prenez conscience
que votre point d'équilibre dans le pied se situe un peu vers l'avant,
aux deux-tiers du pied environ. Quand vous marchez, exercez-vous a enfoncer
chaque pied dans le sol a partir de ce point. Vous verrez tout de suite l'effet
: vous allez vous sentir plus accroché au sol, en meilleur équilibre. Mais
aussi, vous allez naturellement débarrer les genoux, ne marchant
plus sur les talons, mais en souplesse. Et
vous pourrez meme marcher de cette maniere pour vous défrustrer suite
a une bonne colere - écraser le sol plutôt que la personne
qui vous énerve ! - en frappant vigoureusement le sol a
partir de ces deux points d'ancrage dans vos pieds. Il ne serait pas
étonnant que vous vous sentiez alors énergisé : l'énergie que vous
conteniez au dedans peut maintenant servir a autre chose.
A force de marcher de cette
façon, ce sentiment extérieur de solidité et de flexibilité va finir par
passer au dedans : ça va contribuer a vous faire vous sentir en équilibre
dans vos émotions, moins désarçonné par les réactions des autres.
Quel phénomene se vérifie ici ?
C'est que nous finissons par devenir ce que nous faisons exprimer par notre
corps assez longtemps.
LA PETITE MARCHE
Une
recherche américaine aurait démontré qu'une marche rapide de 10
minutes vaut autant qu'une tablette de chocolat pour nous refaire
en énergie et nous sortir de la morosité.
Une marche de 20 minutes, a un rythme plus
modéré, donnerait le meme effet. L'effet bénéfique de cette
marche peut durer environ 2 heures. De plus, une personne
qui fait cette petite marche a tous les jours devrait constater
des effets marqués sur sa santé au bout de 3 semaines.
Dans le cas du chocolat, l'effet stimulant devient
par la suite un effet déprimant, lié a la présence du sucre.
Source :
Jacques Languirand, Émission Par quatre chemins,
Radio-Canada (02-11)
Essayez cet exercice-ci, par exemple apres un repas un peu trop
copieux, une période de stress ou une journée de fatigue :
- Vous marchez d'un pas ferme, en vous agrippant au sol par vos
deux points d'équilibre dans les pieds;
- en meme temps, vous laissez aller vos bras ballants comme une
marionnette et imaginez que c'est l'enfant en vous qui prend le
dessus;
- vous ressentez le plus possible chacun de vos membres, de
l'intérieur;
- respirant par le nez, vous allongez peu a peu votre
respiration;
- a l'inspiration, vous prenez conscience de vous remplir de
l'Énergie universelle.
Vous portez attention tantôt a un aspect, tantôt l'autre,
jouant au chef d'orchestre qui s'occupe tour a tour de chacun de
ses instrumentistes pour créer la symphonie.
10 minutes ont suffi. Comment-vous sentez-vous ?...
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MENSTRUATIONS
A propos de la lune noire
(au panorama SAVIEZ-VOUS QUE?...), expression pour parler des
menstruations, on rapporte une croyance amérindienne selon laquelle une
femme est a son plus grand degré de
réceptivité a cette période : son intuition,
concernant la réponse a ses besoins ou a ceux du clan, serait
particulierement aiguisée.
D'apres l'enseignement qui en a été tiré, un couple trouverait la un
moment particulierement favorable pour rechercher l'harmonie, non seulement
parce que l'intuition féminine peut s'avérer un guide sur face aux
questions que se pose le clan familial, mais aussi parce que l'humeur
de la femme a sa lune noire, selon qu'elle est positive ou négative,
rejaillira multipliée au moment de son ovulation .
MOTS PIEGES
TOUJOURS... JAMAIS...
Une amie tres proche sursautait quand je la faisais répéter : elle parlait
souvent avec des toujours et des jamais. C'est qu'a chaque fois,
j'avais le sentiment qu'elle figeait sa façon d'etre, qu'elle emprisonnait son
futur : qui dit que tu n'auras pas, avec le temps, d'autres besoins, d'autres projets ?.
qui dit que ceux d'aujourd'hui vont traverser le temps ?...
Pourtant, je vois une exception a cette vision, grand paradoxe. C'est quand il
est question d'amour. Ici, oui, je crois que si j'ai aimé un jour, j'aimerai
toujours. On peut se blesser, se séparer, mais on ne cessera jamais de s'aimer.
L'amour ne peut pas etre autrement qu'éternel. Et lorsque je suis tenté de
dire : je ne t'aime plus , c'est bien plus que j'ai mal ou peur d'avoir mal;
c'est pour me donner le droit de couper la relation, éviter de me sentir
coupable. Mais l'amour lui, va durer; se transformer surement, mais durer,
j'en ai l'intime conviction. C'est la la plus grande magie de la vie.
Voir aussi :
- Dépasser le piege des mots : LANGAGE
- L'ALLUMEUR DE RÉVERBERES : Feuillet
25 Hé
! la ligne est restée ouverte.
OBSTACLE
FENETRE
Quand une porte se ferme, il y a une fenetre qui s'ouvre a quelque
part
Claire Caron, St-Georges de Beauce, Québec
Une bonne nouvelle ! A force de s'y pratiquer, on arrive a voir
un obstacle comme le grimpeur devant sa falaise.
Oui, mais lui, il l'a choisie... C'est
vrai. Il la prend donc comme un jeu. Et si nous essayions de faire un beau
jeu avec le défi qui est la ?...
ORGANISER
L'un
des premiers pas vers l'amélioration consiste a organiser votre vie afin que
vous ayez le temps de faire plus souvent les choses que vous aimez faire.
Robin
S. Sharma *
*
PARENT Comment
traites-tu ton enfant intérieur ?, nous demande John
Bradshaw * *. Il m'arrive de
me prendre a marcher a côté de mes souliers, et a avoir du mal a me le
pardonner pendant quelques temps. J'en refais les funérailles
plusieurs jours de suite. Si le
proverbe du tai chi est vrai, a savoir qu'on enseigne le mieux ce qu'on a le
plus besoin d'apprendre, je me dis que je pourrais plus souvent profiter de ce
que j'ai appris dans l'éducation de mes enfants, pour me l'appliquer a
moi-meme dans ces moments-la. Qu'est-ce qui me paraît vraiment avoir
marché dans ma façon de les éduquer ? Qu'est-ce qui, si je le regarde
franchement, n'a pas vraiment fonctionné ? ... J'ai un
exemple en tete. J'avais appris a mes dépens, avec mes enfants, que ça ne
donne pas grand chose de ressasser une tension non solutionnée entre nous la
veille : ça ne servait qu'a les aigrir, a raviver la tension inutilement,
plutôt que de leur donner envie de changer. Un peu comme le soleil qui se
leve a nouveau a chaque matin, peu importe le temps qu'il a fait le jour
d'avant, je constatais la sagesse qu'il y a a faire comme si
rien ne s'était passé. Eux aussi cessaient de se voir comme un
sac-a-problemes et repartaient du bon pied. Encore hier
il m'est arrivé un petit événement qui me le confirme. Je
téléphonais a une de mes filles, qui avait tourné en échec un projet
d'activité ensemble, deux jours plus tôt. Au téléphone, j'ai choisi
délibérément de partir en neuf, et j'ai pris de ses nouvelles sur un ton
engageant. Elle m'a répondu sur un ton tout aussi engageant, me montrant que
son ciel s'était éclairci dans l'intervalle. Ça
me donne envie, les fois ou je me prendrai en flagrant délit d'immaturité,
de l'attribuer a mon enfant intérieur, et de lui appliquer une des
réactions qui était gagnante avec mes enfants.
PERSONNE
HANDICAPÉE Souvent, une personne handicapée reçoit énormément
des autres, de toutes sortes de façons : tantôt une aide manuelle, tantôt
de l'argent, du transport, une recherche de services adaptés, etc. A
l'expérience, il m'est apparu important que cette personne
regarde sa situation comme un équilibre a trouver entre recevoir et
donner : "Si je reçois
beaucoup, c'est important de trouver des façons a moi de donner beaucoup
- bien
sur, autrement...". Ça peut etre par des petits moyens bien
simples, ex.: par des lettres ou on prend des nouvelles des amis, par la
vaisselle qu'on s'offre a laver apres un repas ou on a été invité, par
un
petit rien-du-tout a l'occasion d'un anniversaire, etc. Faire plaisir,
a sa façon...
Sinon, la personne peut se mettre a se diminuer a ses propres yeux. Une réaction
sournoise s'insinue : je ne suis bon qu'a etre aidé... Et ça peut
aller plus loin: j'ai connu des personnes handicapées qui s'installaient
dans une peau de victime : on me doit tout... on me met de côté... Et
ça devient un cercle vicieux : on l'aide, mais on n'a pas de plaisir a la
côtoyer.
Un amputé n'est pas un empoté. Un handicapé est aussi un handi-capable.
Toute personne au monde a besoin de mettre au point une situation ou elle
donne et reçoit, a sa façon, peu importe l'ampleur de ses limitations
personnelles ou la forme qu'elles prennent. Qu'est-ce que je peux,
moi, apporter? quelle serait ma façon a moi de le faire?... Le
défi, c'est de se poser soi-meme la question, sans attendre que les autres y
répondent pour soi. Ça ne vient pas tout seul, mais ça s'apprend.
PERTE
-
LEÇON
"Lorsque vous perdez, ne perdez pas la leçon."
Attribué au Dalai-lama
-
REVE
"REVER comme un fou pour combler la perte.
Rever ou mourir."
Boris Cyrulnik, Un merveilleux malheur
POINT
D'APPUI
Archimede a dit déja :
Donnez-moi un point d'appui, et je souleverai le monde .
Je buchais en foret. Au
moment de déplacer un arbre abattu, sa base m'est remontée a la figure
: douleur intense a la mâchoire, peur de perdre mon oeil... En plein
désarroi, il m'a fallu un moment pour déplacer mon attention vers les
moyens que je connais pour reprendre le dessus: j'ai alors allongé ma
respiration, je me suis mis en ressenti corporel, et je me suis connecté
a la tendresse de la Vie pour envoyer de la chaleur a ma joue
ensanglantée. Peu de temps apres, ça s'est mis a aller mieux, j'ai pu
reprendre mes esprits.
Pendant que je tenais mon
sac de glace sur ma joue un peu plus tard, un vieux souvenir m'est
remonté : je m'évertuais a pousser ma voiture pour la sortir d'une
orniere. Je me revois encore tout en transpiration, cherchant a soulever
la carrosserie sans succes, ne réussissant qu'a m'enfoncer les pieds
dans la gadoue. J'ai regardé tout autour pour trouver, qui sait, une
roche, un débris d'arbre..., quelque chose a me mettre sous les pieds
pour que mon effort porte.
La voiture était dans le
mouvant, et mes pieds aussi. Je comprends mieux maintenant ce que veut
dire l'expression la solution ne doit pas faire partie du probleme
!
En rapprochant aujourd'hui
les deux expériences, ça me frappe de réaliser que ce besoin d'avoir
les pieds sur du solide pour déprendre une voiture d'un trou fait
évidence a nos yeux. Pourquoi est-ce si peu le cas quand il s'agit de
nous sortir nous-meme d'une orniere, physique ou émotive, et que nous
tournons en rond, tout obsédé par ce qui nous fait mal ?...
A propos de cette
expérience de bucheron écorché, j'ai parlé spontanément de reprendre
mes esprits. Je réalise que cette expression dit exactement ce
qui est en jeu ici : il a fallu que je choisisse délibérément de
déplacer mon esprit en terrain solide, de m'accrocher a une vision de
santé et de sécurité, pour apres, regarder a nouveau ce que je
pouvais faire avec ce qui m'est arrivé.
Selon les circonstances ou
la personnalité de chacun, bien des façons de le concrétiser existent.
Certains y arriveront en riant un bon coup de s'etre mis les pieds dans
les plats. Un autre imaginera une personne qui l'aime en train de le
prendre dans ses bras. Quelqu'un se dira qu'il n'a pas le droit de
lâcher, car des etres qu'il adore dépendent de lui. D'autres encore se
connecteront au désir d'etre a la hauteur de la personne de courage
qu'ils ont été dans le passé, ou se mettront en priere... Peu importe.
Ce qui compte, c'est de retrouver l'adresse de la santé. Apres, viennent
les solutions, et alors les bonnes.
Lorsque l'état
d'esprit a choisi de passer du côté de la vie, la maladie n'a pas
de prise longtemps sur le corps ni sur le coeur.
POSITIONNEMENTS
Une de mes
convictions les plus ancrées peut se résumer par l'expression semence-récolte.
On pense tout de suite a la maxime on récolte ce qu'on seme... ,
c'est vrai : mes semences d'hier sont mes récoltes d'aujourd'hui, mes
semences d'aujourd'hui feront mes récoltes demain.
Mais si vous
avez jeté un oeil au panorama L'ALLUMEUR
DE RÉVERBERES,
vous comprendrez que ma conviction est aussi autre chose: c'est que la
semence est mon affaire, tandis que la récolte est l'affaire de la Vie.
Voila
pourquoi mon expérience de croissance la plus riche, peut-etre, m'a
amené a chercher sans relâche des façons de me positionner au
quotidien
- ce panorama Mon trousseau de CLEFS
en a résulté,
d'ailleurs. Je vous partage quelques-uns de ces positionnements logés ici et la
dans le site :
-
La Centration
'bonheur'. Un positionnement de l'instant pour nous
relancer du bon pieds, par exemple au moment de changer d'activité,
ou lorsqu'on se sent tout croche. Le Feuillet
18
de L'ALLUMEUR
DE RÉVERBERES
en fournit la vision de fond.
-
La
respiration - source. Une
façon de respirer pour se reconnecter avec soi, avec la Vie, et
refaire des énergies. Consulter RESPIRER
dans ce panorama-ci, ou pour une réflexion plus large le
Feuillet 12
de L'ALLUMEUR DE
RÉVERBERES .
PROJECTIONS (Examiner nos...)
-
CE QUI
NOUS MANQUE
...si je déteste une personne douce, tranquille et
effacée, c'est sans doute qu'il me manque de telles qualités pour
contrebalancer ma personnalité trop agressive, ma vie agitée et mon désir de
paraître.
A ma connaissance, il n'existe aucun test psychologique plus précis et
efficace que l'examen de nos projections pour connaître les qualités et les
traits de caractere qui manquent a notre croissance. En effet, si nous sommes
portés a mépriser et a détester, chez autrui, certaines qualités ou traits
de caractere, c'est que nous avons un besoin urgent de les développer en
nous-memes .
Jean Monbourquette **
-
CE
QUI NOUS HABITE EN TROP...
Il y a un autre type de situation, a l'inverse de ce qu'évoquait
plus haut Monbourquette - du moins en apparence... C'est
celle ou nous sommes allergique chez quelqu'un
d'autre a un trait de sa personnalité justement parce que nous
l'avons aussi, alors que nous nous le reprochons. Exemples : Je
suis maigre et malheureux de l'etre : alors, les gens maigres
m'agacent. Je me permets mal de de vivre par plaisir et j'ose
difficilement me l'avouer : alors, j'ai un 6e sens pour repérer
l'autoritarisme chez les gens, j'ai vite fait de me braquer devant
quelqu'un qui représente une autorité...
Notre rendez-vous, ici encore, est de faire davantage la vérité avec
ce qui se passe en nous. C'est pour une large part de prendre notre
enfant intérieur avec tendresse, reconnaissant qu'il a de bonnes
raisons d'en etre arrivé a se manifester ainsi, souvent apres
avoir été blessé. Il s'agit tantôt de se déculpabiliser, tantôt
de se permettre davantage, tantôt encore de découvrir le besoin
légitime qui cherche a se dire, et alors de trouver comment on
pourrait bien y répondre.
Prenons une femme qui réagit agressivement lorsqu'elle en côtoie d'autres
qui manifestent des
tendances un peu mâles (brusquerie, tendance a dominer, etc.). Il se
peut qu'elle sente confusément qu'elle leur ressemble, mais qu'elle
ose a demi
seulement se l'avouer, et encore moins se le pardonner ! Pour
elle, le fait d'oser se regarder en face, mais avec indulgence,
pourrait l'amener a mieux canaliser son besoin d'ordre, de pouvoir
sur ce qu'elle vit, etc. Ça pourra l'amener meme a rechercher un
emploi qui implique des rôles d'organisation ou de gestion.
-
ET
CE QUI NOUS ATTIRE ?... (UNE EXPÉRIENCE A FAIRE)
A propos de nos réactions aux autres,
j'ai fait depuis quelques années une expérience tres concluante,
que vous aurez peut-etre envie d'essayer a votre tour : je me suis
ouvert un cahier que j'ai intitulé Regards. Lorsque je
trouve dans des journaux ou des revues des visages qui ne me laissent
pas indifférents - quelquefois parce qu'ils me mettent
mal a l'aise, mais plus souvent parce qu'ils ont quelque chose qui
m'attire - je les découpe et je les place dans ce
cahier.
J'ai longtemps laissés cette collection pele-mele. Jusqu'au jour
ou je me suis amusé a feuilleter les pages et a regarder ce que
ces visages avaient en commun. Alors j'ai été simplement stupéfait
! Les regards avaient beaucoup a voir avec une certaine joie de
vivre, les yeux exprimaient souvent comme une sorte de lumiere
intérieure.
J'ai décodé la comme un appel a arroser plus souvent cette fleur
que je sens en moi, mais que je ne cultivais pas encore assez. J'en ai
eu la preuve des années plus tard, lorsqu'apres une série de
blessures émotives majeures, je me suis ressaisi d'une façon
ou la joie de vivre a pris le dessus, devenant meme une sorte de
signature personnelle. Peu de gens le croiraient aujourd'hui si je
leur disais que peu d'années avant, lorsque je côtoyais quelqu'un
qui savait rire et rire de lui-meme, j'éprouvais souvent un réel
malaise...
RESPECT
LES 3 'R'
Suivez les trois R : Respect de soi-meme. Respect des autres.
Responsabilité de tous vos actes.
Attribué au Dalai-lama
RESPIRER
MON TABLEAU DE BORD
Quant on s'et buté sur un probleme émotif, c'est
rassurant d'avoir pu sortir une clef qu'on sait efficace. Mais dans le domaine
de la croissance, comme nous passons peu a peu des 'trucs' de dépannage a
des positionnements plus intérieurs, a un état d'esprit, un trousseau de
clefs peut aussi nous servir de boussole, de lampe de poche ou de tableau de
bord. Boussole pour maintenir le cap, lampe de poche pour éclairer l'orniere
avant de mettre le pied dedans, tableau de bord pour résumer l'état du
véhicule.
On s'aperçoit alors, que ce sont souvent les clefs qui nous
glissent un peu des mains, celles qu'on n'arrive pas encore a utiliser
comme des réflexes - mais qu'on sait importantes - qui
méritent le plus de composer le tableau.
Si
j'avais a garder 10 clefs dans mon trousseau,
voici celles que je conserverais aujourd'hui :
ME DONNER DES
BUTS. ET DE TEMPS EN TEMPS LES RELIER AU GRAND BUT :
RÉALISER LE PLUS BEAU CHRISTOPHE QUE JE CONNAISSE, UNIVERSEL
ET UNIQUE,
NÉ POUR LE BONHEUR, LA CROISSANCE ET
LE SERVICE
RECHOISIR D'ETRE HEUREUX, TOUT DE
SUITE. ET AVEC LE SOURIRE EN PRIME !
C'est aujourd'hui le premier jour du reste de ma vie...
LA NATURE ME FOURNIT
TOUS LES MODES D'EMPLOI,
A COMMENCER PAR L'ÉMERVEILLEMENT
FAIRE AUX AUTRES CE QUE J'AIMERAIS QU'ILS ME FASSENT
Sois bon, tu ne te tromperas pas
N'ARROSER QUE DES GERMES DE VIE, RÉVÉLER AUX GENS LEUR BEAUTÉ
SANS PORTER SUR MES ÉPAULES CEUX QUE J'AIME OU LE SORT DU MONDE
L'IMPORTANT N'EST PAS D'ETRE ARRIVÉ, MAIS D'ETRE EN CHEMIN
Mettre le pied dans la porte...
TOUT RAMENER AU PRÉSENT : SAVOURER ! TIRER DU
PASSÉ L'ÉNERGIE ET LES ENSEIGNEMENTS. DÉJA VISUALISER LE MEILLEUR POUR
DEMAIN
PRATIQUE, PRATIQUE, PRATIQUE...
VOIR UNE DIFFICULTÉ COMME UN RENDEZ-VOUS, UN CADEAU CACHÉ.
EN FAIRE UN BEAU DÉFI, L'OCCASION DE REVOIR MES CROYANCES
Qu'est-ce que la vie veut me dire la ?...
MA PETITE BATTERIE PEUT TOUT LORSQU'ELLE EST EN SÉRIE AVEC LA
GRANDE
La vie : un emploi de complicité supérieure
Si
j'avais a garder une seule clef,
celle-ci me
semble
les résumer toutes :
APPELER A LA SURFACE
L'AMOUREUX QUI M'HABITE,
ENCORE ET ENCORE
Christophe
Élie
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Bienvenue de collaborer à
ce panorama
Pour vous, dans votre
expérience : quelles sont les clefs qui ont fait leurs preuves
comme étant
des valeurs sures, au quotidien ?...
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Édité par le site GRANDIR,
QUÉBEC
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en indiquant la source.
v2006-01-04 |
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